Réduire le nombre d’accidents sur les routes togolaises et dans le même temps le nombre de décès, c'est l'objectif que compte atteindre les pouvoirs publics. Ce combat, l'Etat veut le mener en ayant comme arme une politique nationale de la sécurité routière. Ce document fait objet d'analyse depuis ce jeudi à Lomé, une initiative du ministère des Infrastructures et des Transports.
3178 cas d’accidents dont 354 pertes en vies humaines et 4438 blessés, ce sont des chiffres enregistrés au premier semestre de l'année 2019. Des statistiques qui font froid au dos car les routes togolaises tuent énormément. Face à cette situation, l'Etat a décidé de prendre les taureaux par les cornes en mettant en place une politique nationale de la sécurité routière. Le document, produit par les cabinets SITRASS/ICI-SANT, retrace des pistes de stratégies : la gestion de la
sécurité routière et des programmes d’actions, notamment le renforcement
des dispositions de contrôle de la sécurité des véhicules et des
usagers de la route.
« À cette allure,
il faut endiguer les causes des accidents, qui se résument pour
l’essentiel aux comportements à risques que prennent inutilement les
usagers de la route », selon les responsables du ministère des Infrastructures et des Transports.
De leur côté, les cabinets prestataires ont souhaité qu’un office national de sécurité routière au Togo soit rapidement mis en place
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