Dans
son intervention, il a fait savoir que le cinéma requiert que les efforts
soient porté sur la structuration du secteur afin que sur le véritable marché,
les entreprises culturelles puissent trouver leur place par la compétitivité et
créer de la richesse et des emplois pour une réelle autonomisation des acteurs.
« Depuis
plusieurs années, le Gouvernement à travers le ministère en charge de la
culture s’évertue à faire du cinéma, un pilier du développement social puis
économique de notre pays le Plan National de Développement (PND) consacra la
culture comme la « pierre angulaire de notre harmonieux développement
socioéconomique », a déclaré le ministre Lamadokou.
En
effet, cette semaine qui se propose d’infuser sur les écrans de télévisions,
tout le charme et toute la hauteur que les réalisateurs togolais ont mis dans
leurs films. C’est un bonheur que nous ne saurons bouder quelles que soient les
circonstances. Nous vous invitons d’ailleurs à le savourer sans aucune forme de
retenue.
« Le
cinéma, disais-je, nous permet d’ouvrir une porte qui nous amène chez le
voisin, et ce, quelles que soient la distance et les différences. C’est un
outil formidable pour créer des liens, produire des émotions, générer des
sentiments et rapprocher les hommes. Voilà pourquoi, le cinéma occupe une place
particulière dans nos ambitions culturelles et artistiques au Togo », a
indiqué le ministre.
Depuis
le 20 juin 2016, une loi a été votée pour protéger l’artiste togolais, en lui
conférant un statut respectable. L’avant-projet de code du cinéma et de l’image
animée est déjà adopté par le gouvernement et attend d’être voté par le
parlement. Dans sa volonté d’appuyer et de soutenir les acteurs des arts et de
la culture, le Chef de l’Etat a tenu à mettre à leur disposition un Fonds
d’aide à la culture. A chaque appel à projets, nombreux sont les jeunes qui
postulent au financement de ce fonds. Cette année, le cinéma est à l’honneur.
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